Journée vérité et réconciliation : Miro Pimatisiwin – se souhaiter une bonne vie

Dans le cadre de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, le Musée – en collaboration avec Marie-Claude Nequado, artiste multidisciplinaire atikamekw de Manawan, et le Centre de services de justice réparatrice – propose une rencontre de création et de réflexion sur les thèmes de la cassure de la transmission identitaire, de l’identité et de la guérison nécessaire pour bâtir des relations sensibles et respectueuses entre autochtones et allochtones.

Initiez-vous aux perspectives autochtones de la guérison en explorant des œuvres de Marie-Claude Nequado et la lecture symbolique de leurs compositions. Cette activité servira de point de départ à la création d’une œuvre collaborative, témoin d’un engagement commun dans la rencontre et le désir de cheminer ensemble.

Celles et ceux qui le souhaitent sont conviés à se joindre au rassemblement et à la marche pour la vérité et la réconciliation « Chaque enfant compte », qui aura lieu à Montréal le 30 septembre, à 13 h.

INFORMATIONS PRATIQUES

• Activité gratuite, en français et en atikamekw, offerte le samedi 30 septembre 2023, de 10 h à 12 h 30.
• Places limitées, réservation obligatoire.
• Lieu : Théâtre J. Armand Bombardier du Musée
• Possibilité de se joindre au groupe du Musée pour la marche du 30 septembre après l’activité.

À PROPOS DE MARIE-CLAUDE NEQUADO

Bachelière en arts visuels, Marie-Claude Nequado a étudié à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Atikamekw originaire de Manawan – une communauté autochtone située dans la région du nord de Lanaudière –, Marie-Claude aborde les thèmes qui gravitent autour de l’identité culturelle, de la tradition autochtone et de la spiritualité. Sa pratique consiste à faire connaître à la fois son héritage culturel et son engagement par l’entremise de plusieurs formes d’expression créative.

À PROPOS DU CENTRE DE SERVICES DE JUSTICE RÉPARATRICE

Le Centre de services de justice réparatrice (CSJR) crée des espaces de dialogue là où des liens de confiance ont été brisés. Depuis 2001, le CSJR offre des rencontres de justice réparatrice entre des personnes ayant été victimes et des personnes ayant été auteures d’actes criminels dans le but de réparer ce que le crime a brisé. Le CSJR offre également d’autres programmes en lien avec la réparation et le chemin de guérison, dont l’atelier « Guérison des mémoires » depuis 2016. Plus récemment, le CSJR s’investit dans la création d’espaces de dialogue entre autochtones et allochtones à travers différents projets, dont la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation.